C’est avec cette société que les élèves de notre collège se sont rendus en Italie en mai 2017.
- L’autocar daté probablement du siècle dernier et le système de ventilation et de climatisation ne fonctionnait pas ce qui engendre un débit d’air provenant des bouches d’aération quasi-inexistant alors que la température extérieure avoisinée le 30°C. Loin du confort d’un autocar classé Euro6.
- Deux portes des compartiments bagages sont tombées sur les élèves lors du voyage.
- Le deuxième chauffeur venait en Italie pour la première fois et les passages en gare de péage étaient compliqués. Nous avons dû lui expliquer comment introduire correctement une carte bancaire et obtenir un ticket. Il ne comprenait pas l’italien et semblait ne pas comprendre l’anglais non plus. De plus l’autocar de tête ne l’attendait pas, ce qui lui générait un stress supplémentaire.
- Lors de la sortie de Rome, le GPS qui calculait le trajet le plus rapide indiquait un passage impossible pour un autocar. A vouloir le suivre et non les panneaux indicateurs, le chauffeur a perdu 45 minutes à tourner en rond.
- Le chauffeur s’énervait sur son collègue lorsqu’il ne l’attend pas et s’énervant sur les automobilistes italiens allant jusqu’à les traiter de « sale rxxe » et de « fils de cxxxn »
- Un autre chauffeur ne savait pas fermer les portes du bus.
- Les erreurs de parcours, les demi-tours, étaient fréquents. Pour la dernière étape, les deux autocars ont pris des itinéraires différents.
- Durant tout le voyage, les chauffeurs n’ont cessé de se téléphoner (tout en conduisant) pour s’entendre sur les arrêts ce qui a provoqué des écarts de conduite.
- Le chauffeur ne s’est pas reposé dans une chambre d’hôtel avant d’effectuer le voyage retour Rome-Sallanches, sa fatigue était palpable à la fin du trajet.
- Lors de la traversée du tunnel du mont blanc, il n’a pas respecté la distance de sécurité en maintenant celle-ci à 10 mètres.
SOCIETE A FUIRE..